Etape 3 : be aware !
Le but ici est de chercher partout et d‘aller voir ses contacts. Ma morale méritocratique m’empêchant de faire l’apologie du piston nous nous contenterons d’aller voir nos contacts pour des conseils.
Un stage ne se trouve pas sous le sabot d’un cheval (ça se saurait). On ne s’appelle pas tous Kate Moss et on ne se fait pas repérer dans la rue ni dans les aéroports. Donc il faut chercher !
Soyez connectés, à l’affût de la moindre offre. Twitter en regorge, mais aussi lEtudiant.fr ou Linkedin. Ne dénigrez pas non plus les petites annonces (oui oui !) ou le site de votre établissement (en l’occurrence l’Université de Nantes).
Contactez vos anciens patrons, profs ou maîtres de stage avec qui vous avez gardé de bons contacts. Attention, il ne s’agit pas de rentrer dans l’entreprise parce que « je connais untel » ou « je suis la fille de madame T ». Cependant, ces professionnels connaissent leur activité et sauront vous donner des conseils ou des idées : « le secteur du tourisme embauche à cette période » ou « je sais que Séraphin Lampion* prend souvent des stagiaires » ou « pourquoi tu ne demanderais pas à Madame T ? ». Les gens ont souvent des bonnes idées (ou pas, après c’est à prendre ou à laisser !). Ecoutez vos parents parfois, ils ont aussi des bonnes idées.
Tentez ! Osez !
Parlez autour de vous de votre recherche, au détour d’une conversation :
« – tiens, en parlant de tarte au poireau, je cherche un stage en tant qu’animateur nature. »
En désespoir de cause, prenez une pile de CV, armez-vous de votre plus beau sourire, prenez votre pantalon porte-bonheur et allez faire le tour des entreprises qui vous intéressent. Allez-y au talent, prenez le temps de discuter, de vous présenter, de voir les responsables si possibles. A noter que cette technique fonctionne aussi par téléphone. Au moins s’ils ne veulent pas, vous le savez.
Nous sommes jeunes et insouciants, courage !!
*personnage d’un album de Tintin, mais lequel ??